mardi 10 mai 2011

De la couleur

William Eggleston a su utiliser la couleur comme personne. Alors que d'autres ne juraient que part le noir et blanc à cette époque (années 60/70), il s'est vite tourné vers des couleurs intenses, profondes et à leur paroxysme. Derrière ces couleurs saturées aux allures de folle gaiété se cache parfois un réalisme abrut, la sensation étrange que quelque chose va arriver: le téléphone va sonner, les poupées me parler...







© Eggleston Artist Trust




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